Le second groupe a travaillé sur : les modalités techniques des scanners ;
QUELQUES CHIFFRESD’après des sources CNAM pour 1998 : Moins de la moitié du budget prévu a été dépensé. Il y a beaucoup à faire pour que ce droit devienne partout une réalité. Pourtant, là où le SPP est organisé, une proportion non négligeable des examens de SPP (un sur 6 environ) débouche sur une déclaration en maladie professionnelle. Ce bilan permet aussi de voir que le recours au scanner (plus sensible pour la découverte de pathologies pleurales bénignes) a d’ores et déjà trouvé sa place soit directement dans le protocole du SPP soit après avis du service médical dans plusieurs régions. Article paru dans le Bulletin de l’Andeva N°6 (février 2000) |
Quels examens radiologiques ?
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