Les hôtesses de l’air, comme les stewarts et les pilotes,  subissent une perturbation du rythme circadien due au travail de nuit et aux décalages horaires.

Elles sont aussi exposées aux rayonnements cosmiques, avec des doses d’irration bien plus élevées entre 10 000 et 15 000 mètres d’altitude qu’au niveau du sol.

Il y a dans ce métier un sur-risque de cancer du sein.


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva n°67 (janvier 2022)