Le 7 juin dernier, la Cour de cassation a annulé le second non-lieu rendu par la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris en faveur de Claude Chopin, dernier PDG d’Amisol qui avait exercé ses fonctions durant six mois avant la fermeture.

Ses avocats l’avaient présenté comme un homme de paille qui n’avait pas la réalité du pouvoir de direction détenu en fait par son père.

La cour de cassation a jugé qu’il ne pouvait s’exonérer de ses responsabilités, la chambre de l’instruction n’ayant pas recherché s’il existait une délégation de pouvoir du fils à son père. L’espoir renait de le voir enfin renvoyé en correctionnelle.